27/08/2007

Web 2.0 : la science du point de contact

Il est toujours aussi difficile d'expliquer ce qu'est le web 2.0. Et pourtant, cela fait déjà 2 ans qu'on en parle ... mais tellement de choses ont été dites ou écrites sur le sujet et le concept à la base était tellement flou
que les définitions ont évolué au fur et à mesure des avancées du web 2.0 !!

Mais maintenant, avec le recul et la maturité fraichement gagnée du web 2.0, on peut s'hasarder à le définir.

Un vision factuelle du web 2.0


Le web 2.0 est une révolution caractérisée par l'émergence des "social softwares" : c'est à dire des logiciels qui permettent à ces utilisateurs de se "socialiser" c'est à dire de créer, d'entretenir et de gérer ses points de contacts avec l'extérieur.

Alors que dans le monde réel, on s'inscrit dans des clubs, on participe à des tables rondes ou séminaires et on se réunit pour faire des points projets. On peut désormais sur Internet utiliser des outils, s'inscrire sur des plateformes pour nous aider à gérer nos points de contacts avec l'extérieur.

Une affaire de conscience

Effectivement comme disaient les détracteurs, le Web 2.0 n'est qu'un terme marketing, tous les outils existaient
... mais le web 2.0 a été fidèle à son principe de base : "tu recois ce que tu apportes" et
ce sont les stakeholders ... c'est à dire les parties prenantes (startup, grands goupes, gourous,internautes..)... qui ont fait le web 2.0 ce qu'il est.
Et en 5 ans, les internautes ont fait le web 2.0 ... en prenant concience de l'acte social qu'ils effectuaient en utilisant ces outils...

Le blog de journal intime est devenu est un moyen de contribuer et d'exister sur la toile.
Le wiki, de l'encyclopédie du libre est devenu un moyen d'échange de savoirs.
Les plateformes de gestion de projet d'un outil de suivi sont devenus un outil de collaborations.
Les outils de gestion de contacts (Linkedln..), un outil de gestion réseau.

Les transformations sont souvent subtiles mais elles vont véritablement avec le sens de l'histoire : la toile est un formidable média pour faire vivre une société.

23/08/2007

ecran tactile 2 : microsoft surfacing_on10

Vu sur dailymotion, une interview sur un ecran ou plutot un ordinateur tactile avec des applications vraiment impressionnantes.
Cela rejoint un ancien post (il y a un an le voir).
La techno a muri... le produit sort bientot et les aplications sont prêtes :
  • Tmobile avec le reconnaissance du téléphone, la comparaison avec d'autre produit, l'achat de services est impressionnante
  • Ou l'expérience restaurant : choix des plats, commande automatique, paiement sur la table avec division de l'adition ... enorme
  • et plein d'autres choses à voir...
Un nouveau monde s'ouvre à nous ou la technologie est à notre service sans formation, sans technicité ... c'est génial : Microsoft a pris un virage
voir la video

22/08/2007

le bureau 2.0

Très déçu, je suis un has been, Emmanuel me dit que les fesses high tech sont sur le net depuis plus de 6 mois...
Faut suivre ... Enfin là il me donne le dernier truc en buzz sur le net (cela date de 4 mois) mais
je ne resiste pas à vous faire partager cette vidéo, c'est vraiment génial : voir ici

Certainement un bon moyen de créer une culture d'entreprise sympa, reste à choisir la chanson ...

21/08/2007

Les fesses High tech

De retour de vacances :-(, un temps pourri qui pousse au Surf en TRES haut débit
Mais ou va se nicher l'innovation ... un brin de douceur dans un monde de brute et un bien jolie clin d'oeil !
Voir la sequence Cela me rappelle une discusion avec mon copain Emmanuel de Watisit ! ... quand le 2.0 rencontre l'internet mobile !!

16/08/2007

L'entreprise 2.0 avance !

Un article fleuve de Fred Cavazza sur l'entreprise 2. 0 : cliquez ici


Cet article a l'intéret principal de rechercher l'exhaustivité sur le sujet de l'entreprise 2.0.

Quelques reflexions après la lecture de cette article

Les blogs

J'aime beaucoup l'utilisation pérconisée des blogs comme un outil de mise à disposition d'informations personnelles pour la communauté.
Je pense effectivement que c'est un très bon moyen de partager des informations en permettant aux contributeurs de poster des billets.
Ceci permet de faire filtrer les bonnes informations par leurs auteurs et de les mettre en forme pour une communication extérieure. c'est efficace et utile !

Les Wikis
L'utilisation des wikis par metier peut véritablement favoriser la collaboration.
Un wiki favorise la vision commune en mettant en valeur l'apport de chacun, il permet de conserver le savoir faire dans l'entreprise et bien sur facilite la formation des nouveaux.
C'est une véritable base de connaissance
Les wikis permettent dans une certaine mesure de faciliter l'émergence de la culture d'entreprise parce qu'ils sont tout simplement le reflet de la structure.

Le travail collaboratif
Gestion par projet, partage des informations, messagerie interne... avez vous déjà utilisé basecamp ??? Vous ne pourrez plus vous en passer ! impossible de gérer un projet sans un outil de ce genre.

Les reseaux sociaux
Je ne suis pas la bonne personne pour en parler... je suis inscrit sur tous les réseaux de la terre ... du plus privé ou plus ouvert... et je les utilise jamais ... mais c'est cela le 2.0 si on apporte rien on ne reçoit rien !!

20/05/2007

Etre une entreprise 2.0 pourquoi ?

Etre une entreprise 2.0 c'est d'abord une façon de mettre en musique la contribution de ses clients, employés... grâce aux outils du web 2.0 : wiki, messagerie, blogs...
Andrew Mc Afee, chercheur dans les nouvelles technologies à l’Université de Harvard, s’est exprimé sur l’émergence des applications collaboratives au sein de l’entreprise. Selon lui, “Wikis, blogs, et applications de messageries peuvent transformer une plate-forme intranet en une structure en changement permanent, édifiée par des contributeurs autonomes, et reflétant exactement l’évolution du travail en cours”.

Etre une entreprise 2.0, c'est prendre une longueur d'avance sur ces compétiteurs... Ne nous le cachons pas, le 2.0 doit être un facteur clé de succès pour être implémenté. Les décisionnaires ne s'engageront pas tant qu'il n'y aura pas de gains potentiels à la clé et un ROI à calculer.
Quelques gains potentiels :
  • La fluidification de l'information,
  • la diffusion des bests practices,
  • la contribution organisée de ses clients.
  • la gestion collaborative.
Heu ... besoin de calculer un ROI ... vous êtes sur ?

21/04/2007

les 7 règles d'or de l'applicatif 2.0

le web 2.0 continue son chemin et revolutionne les applicatifs. Vu sur le site de sandhill.com, les 7 règles des applicatifs "sociaux" (lien vers le source ici) C'est rafraichissant et tellement nouveau. La révolution est en marche et vive le High Social Technologies !!!

  1. Servir un besoin individuel .... pour servir le groupe
  2. Avoir un mode propagation viral ... c'est le buzz qui fait son succès
  3. Personnaliser les informations selon le contexte utilisateur ... l'applicatif doit connaitre son utilisateur pour mieux le servir.
  4. Par de reprise de données ou de formation. .. Le logiciel est utilisable en l'état et fondamentalement intuitif.
  5. Délivrer de la valeur instantanément ... pas d'effet d'apprentissage ou de masse critique, le logiciel délivre dès la première utilisation de la valeur.
  6. Utiliser la communauté et les réseaux... le produit s'enrichit des nouvelles connexions.
  7. Nécessite une intervention minimal des services informatiques ... l'applicatif peut être implémenter sans intervention ou décision de l'IT...
Pas de commentaire à faire, sauf que ces règles sont si primordiales qu'elles donnent des frissons car les objectifs sont difficiles à atteindre et demande un énergie enorme. Mais n'est ce pas la révolution que nous attendions tous ... moins d'effort technologique pour plus d'effort pour le client !!!

16/03/2007

Définition et reflexions sur "la valeur"

Pour avancer dans la reflexion sur la valeur de l'immateriel, il faut se pencher sur ce qu'est reellement la valeur. Vaste sujet, le mot a de nombreuses définitions et encore plus d'interprétations. Mais une chose est sure, la valeur ne s'arrete pas à ce qui est matériel...

Définition de la valeur
  • Sens 1 Ce que représente quelqu'un ou quelque chose, financièrement ou symboliquement.
  • Sens 2 Titre négociable tel que les actions ou les lettres de change
  • Sens 3 Mesure précise ou approximative d'une quantité.
Le sens premier est le sens le plus large possible de la valeur puisque il donne une signification "philosophique" c'est à dire en tant que réprésentation financière ou symbolique de quelque chose. Mais les deux autres sens ont un interet propre car ils introduisent la notion d'échange pour le sens 2 et le sens 3 la notion de mesure. Car le seul moyen de connaitre la valeur d'une chose , c'est de le frotter au marché et d'en déterminer un prix...

Un peu de philosophie et puis s'en va
Cette définition de la valeur comme une représentation me parait très juste à plus d'un titre.
En effet, une représentation est une forme de traduction de la pensée par des relations de correspondance : concepts, images, règles, etc.
Et c'est bien le cas : la valeur est bien une traduction de la pensée par rapport à l'argent, au travail, à l'échange... ou même à ses souvenirs.
Cette contruction est très bien adaptée à la valeur : il est en effet impossible de définir la valeur d'un chose, d'un service ou d'une personne sans s'appuyer sur une référence. La référence donne la grille de valeur.

L'echange : la sanction du marché
On peut véritablement déterminer la valeur d'échange d'un produit ou d'un service par sa valeur d'achat c'est à dire le prix qu'un acheteur est pret à donner pour s'appropier le produit ou disposer du service.
Attention à ne pas avoir une vision statique de la valeur, le dynamisme de la valeur dépend essentiellement des acheteurs et ce qu'il sont prets à mettre selon leur situation (ceci explique qu'une entreprise par exemple est plus de valeur pour un acheteur que pour un autre).

Le mercantilisme
Cette vision si mercantile oublie sciement la valeur symbolique des choses : comme la valeur sentimentale d'une photo ou d'un objet de son enfance qui a peu de valeur sur la marché mais tant pour le détenteur. C'est une bonne nouvelle pour notre monde qui garde une dimension "humaine" et une mauvaise pour nos esprits rationnels car on perle de valeur non quantifiable !

Une vision économique de la valeur
On est plus proche du sens 3, avec la mesure financière d'une chose ou d'un service. Par exemple la valeur de production, la valeur d'échange, la valeur d'actif, toutes ces valeurs donnent une mesure différente selon l'angle d'observation :
- production
- vente
- évaluation économique

Et l'idéologie dans tout ça
Valeur travail, valeur ajoutée, valeur d'utilité et valeur d'échange... Marx a analysé la valeur travail d'un bien c'est à dire la valorisation de la force de travail (la composante salaire) et des prix des matières premières (la composante marchandise) en comparaison à la valeur "ajoutée" c'est à dire la valeur faciale du bien (c'est à dire avec le profit).
Ce profit qui rémunère l'entreprise (la marge net) et ses actionnaires est la vraie nature du capitalisme et de l'exploitation des masses laborieuses... Ou je veux en venir ? la vision comparée de la valeur (sortie de l'idéologie qu'elle véhicule) apporte beaucoup dans notre réflexion en donnant de manières systématiques différentes dimensions à la valeur des choses.
La dimension de valeur ajoutée en effet apporte un plus "humain" à une vision déterministe qui se meseure mais qui en définitive n'est pas réelle.

Une autre vision de la valeur

La notion de valeur pour les sociologues est différente de la valeur économique définie par les économistes. Une valeur sociale est « ce qu'un groupe d'individus, une communauté, une société, posent objectivement comme juste, beau, bien et qui sert de référence et de principe ». Les valeurs sociales donnent donc du sens aux sociétés, c'est-à-dire des finalités pour atteindre un meilleur bonheur collectif.

La valeur de la preuve...
La valeur de la preuve et la couverture de risque... Dans notre monde de plus en plus réglementé, la faculté de plus en plus importante qu'ont les personnes (morales ou physiques) de se retourner contre son prochain. Pouvoir prouver sa bonne foi est devenu appreciable : c'est à dire qu'on peut affecter une valeur à des preuves (ou plutot au risuqe financier que l'on prend de ne plus avoir la preuve).

12/03/2007

La valeur de l'immatériel

J'entame une étude de la valorisation de l'immatériel et plus particulièrement du document électronique.

Quelques éléments de reflexion en vrac avant de structurer :
- On l'a vu sur un précédent post qu'un email qui parait si anodin peut avoir une valeur très importante en tant que preuve d'une commande, d'un échange...
- La valorisation du travail, en tant qu'apport de forces physiques ou de plus en plus apport de matière grise, est un sujet de prédilection depuis des siècles pour les philosophes et économistes. Et il apparait que le système de valorisation le plus cohérent dans notre monde contemporain est la valeur d'échange : c'est à dire la valeur calculée par le marché (Offre/demande).
- Mesurer le poid est un moyen simple de fixer un prix de nombreux biens en lui appliquant un prix au kilo.
- Internet permet de s'accaparer du contenu gratuitement, c'est à dire en ne rétribuant pas sa source ou son origine (informations, musiques, films, vidéos...).
- L'immatériel a un coût : prix de l'archivage, le temps passé à créer le document/oeuvre....
- L'immatériel est duplicable à cout marginal nul : le cout de création est égal au temps valorisé pour faire un copier/coller...
- L'univers immatériel s'expanse à un rythme Non Humain : en 2006, le volume d'informations échangé est égal à 3 millions de fois le volume total écrit dans tous les livres existants.
- le travail d'équipe : un document peut s'enrichir de part la contibution de nombreuses parties.

Bon prochain post, il faut que je reprenne quelques définitions avant de structurer...

09/03/2007

l'email un ami qui vous veut du bien

L'email est devenu si banal que parfois nous oublions le principal ...

Le carrefour des échanges
La messagerie email est devenue le carrefour des échanges au sein de la sphère privé, l'entreprise en interne et en interaction avec son environnement (fournisseurs, clients,...) .
Les échanges postaux se rarifient, les faxs disparaissent ... et l'email devient petit à petit le support unique des échanges. ...
Sans pour cela que la mémoire des échanges ne soit toujours conservée. En effet qui réellement mène une politique d'archivage email...Le côté dématérialisé fait souvent oublié la valeur des choses.

Or, un email peut permettre de prouver en justice lorsque la loi admet la preuve par tout moyen : il devient un vecteur de force probante. Il peut aussi avoir une valeur de part son appartenance à une chaine d'échanges comme par exemple en tant qu'élément de tracabilité.


Missions
Ainsi, l'archivage des emails aura plusieurs missions :
- établir la preuve que l'entreprises a bien reçu telle instruction du client tout en la dégageant de toute suspicion.
- se conformer aux lois et règlements, notamment à tout ce qui a trait aux législations boursières, à l'obligation de continuité du secteur bancaire, aux obligations de conservation des opérateurs télécoms et aux réglementations sectorielles (agroalimentaire, pharmacie, etc.).
- pour assurer efficacement la traçabilité des différents processus qui transitent par une messagerie,
- et enfin il y a les bons mots, les bonnes blagues, les photos sympas, drôles, attendrissantes... pour notre mémoire, pour plus tard ...

L'archivage véritable
Mais archiver un email doit se faire dans certaines conditions pour éviter toute contestation :
Il faut l'archiver sur un support qui garantit son intégrité, avec un processus de non-répudiation : horodatage pour justifier de la date et heure de création et encore mieux chez un tiers de confiance, ni juge ni partie.
Et le coffre-fort électronique a toute son utilité !

07/03/2007

L'expansion inexorable du virtuel...

Une étude publiée par IDC et EMC quantifie le volume de données échangées dans le monde à plus de 161 milliards de Go (soit 161 exaoctets) en 2006 soit 3 millions de fois les informations contenus dans tous les livres déjà écrits !!!

IDC prédit pour 2010, un contenu multiplié par 6 soit 988 exaoctets.
Ce contenu comprend tous les données échangées : email, sms, mms, documents, video, son...

Alors que IDC estime la capacité de stockage actuellement disponible à 185 Eo, elle passerait en 2010 à 601 Eo pas suffisant pour conserver les 988 exaoctets echangés, mais pas de souci car de nombreux contenus sont copiés plusieurs fois, beaucoup sont supprimés dès reception.

Cette expansion vertigineuse de l'univers virtuel va considérablement modifier nos organisations et notre façon d'aborder l'information. Imaginez que vous deviez gérer 6 fois plus d'information que maintenant : 900 emails à lire par jour... sans outil automatique point de salut !!

Les fournisseurs d'espace de stockage, les éditeurs d'outils de classement du contenu et de GED ont de beaux jours devant eux...


Le communiqué EMC cliquez ici

05/03/2007

stocker sur des bactéries

Une université au Japon teste le stockage de données sur des organismes vivants.
Elle intégre dans les génes des batéries des séquences à archiver. la bactérie se démultiplie et transmet à sa descendance sa séquence génétique ce qui permet d'avoir une durée de vie des données archivées pratiquement éternelle ... Autre avantage on peut stocker beaucoup d'informations dans les génes.
par contre on est pas l'abri d'une mutation génétique ... qui altèrerait le message.

vu sur l'atelier : ici

20/02/2007

Business Model Open source et Web 2.0

Je continue mes réflexions sur les modèles à suivre après wikipédia et ses aumones... la montée en puissance de l'utilisation de l'open source et des sociétés de services qui aident les entreprises.
Il me semble assez efficace de développer une politique en trois axes :

1) l'open source : pour le grand public / TPE
C'est la partie totalement gratuite sans service tout le monde se débrouille
Au niveau développement :
- tout le monde peut contribuer mais l'entreprise drive le projet
- l'entreprise met en place un comité de développement indépendant pour valider les contributions à intégrer dans le coeur et les modules signés compatibles
- l'entreprise peut proposer elle-même des contributions issus des développements effectués pour ses clients.
Intérêt pour la communauté : accès au projet en open source
Intérêt pour l'entreprise : enrichissement par la contribution

2) l'open source avec services de personnalisation et mise en place : pour les PME
C'est l'utilisation de l'open source mais avec l'incorporation des services qui permettent à une PME d'utiliser de manière pérenne la solution.
L'entreprise facture le service de personnalisation, mise en place, formation à la PME.
Elle supporte la maintenance du code ou le transfert de technologie et peut aller jusqu'à l'hébergement (mode ASP)
Intérêt pour la communauté : adaptation de l'open source au besoin de la PME
Intérêt pour l'entreprise : chiffre d'affaires, corrections de bugs et paramétrabilité de la solution.


3) La licence d'utilisation avec maintenance et services : grands comptes.
C'est la version professionnelle et propriétaire de la solution. Plus simple, plus robuste et plus paramétrable : elle est ouverte et propose des outils d'intégrations, d'exploitation et d'administration qui répondent au besoins des grandes entreprises.
De plus, elle intègre une brique de sécurité et de traçabilité.
L'entreprise facture l'intégration,la mise en place et la formation au grand compte.
Elle propose un contrat de maintenance et un support pour l'exploitation du service.
Intérêt pour la communauté : amélioration de la sécurité.
Intérêt pour l'entreprise : chiffre d'affaires, corrections de bugs et paramétrabilité de la solution.
A compléter, améliorer..

11/02/2007

Les francais champions du Peer to Peer !!

Saviez vous que les francais utilisent deux fois plus le peer to peer que les amis et quatre fois plus que les américains ?
En effet près de la moitié (48%) des usagés d'internet en france ont effectué au moins un téléchargement sur le dernier trimestre contre 23.6% des anglais et 12.4% des américains.
C'est ce qui ressort d'une étude Idate médiamétrie.
Encore plus interessant, les francais consomment deux moins de contenu payant que les anglais.
Comment expliquer cela ? l'effet conjoint de la qualité du contenu payant disponible pour les français, l'appetance du francais pour le gratuit ... serions nous plus "border line" que les autres.
Notre côté gaulois, à toujours essayer d'etre plus rusé que son voisin, le français consomme du peer to peer comme un devoir : pourquoi payer quand on peut avoir du gratuit !!
Encore qu'il faut tempérer cette analyse car sur les 9 millions de consommateurs de téléchargements seulement 1.9 millions (20%) n'ont jamais payé alors que l'immense majorité achetent une partie (même minoritaire) de leur contenu.
La première explication est le manque de contenu payant, c'est un fait nous sommes moins vernis que les anglophones qui disposent de nombreux sites de contenus (non accessible par les français car la CB francaise ne passe pas...même international... à savoir pour quoi ??). mais il y a une autre explication : Cette tendance forte d'utilisation du gratuit rejoint le succès de l'open source en France : le côté technologique ne nous rebute pas assez pour que nous préférions un logiciel gratuit qui demande un peu plus d'effort technique plutot qu'un logiciel payant plus facile à utiliser. Serions nous radin ??

10/02/2007

arrivée de Joost


Le nouveau Peer to Peer est arrivée : Joost.

Créé par les fondateurs de Kazaa, il agrège le contenu vidéo pour faire la première télévision gratuite. Vous mettez à diposition votre bande passante, vous créez votre propre sélection et hop vous regardez votre chaine télé !!

C'est bien sûr l'avenir, la technologie ptp permet de disposer d'assez de bande passante pour faire fonctionner la télévision en bonne définition en plein écran. Au vu de nos habitudes de consommation de la télévision à zapper continuellement jusqu'à trouver le bon contenu : joost est ce qu'il nous faut car il nous permet de personnaliser notre chaine télé.
Vous pouvez en ce moment particpez au beta test : le site de joost


19/01/2007

1 million de $ de dons...

Wikimedia annonce avoir atteint 1 million de $ de dons, pas de quoi financer ses investissements mais c'est une somme relativement conséquente.
La palme du don le plus fort est de 286 800 $ donné par un anonyme (heureusement qu'il était là !!), à quand le
ladder, il y a déjà la liste des derniers dons http://fundraising.wikimedia.org/fr/fundcore/list

A l'heure actuelle Wikipédia est sur un rythme de dépense équivalent (75 000 $/mois) mais elle prévoit d' investir juqu'à 1,6 million pour accompagner la croissance de son trafic et de conetnu. Le financement par don montre ses limites et doit être complété de revenus récurrents, sinon le modèle peine à s'auto-financer et demande un effort marketing important peu productif...

Ma question est donc la suivante est-ce qu'un service web 2.0 est il condamné à faire l'aumone pour ne pas perdre son âme ??? Ou faut chercher un modèle plus complexe et plus varié intégrant : les dons, la pub, un service premium... pour paradoxalement garantir son autonomie ?

18/01/2007

La sécurité disjointe

Paypal renforce la sécurité de son processus de transaction en appliquant le principe de sécurité disjointe. Il propose à ses utilisateurs un petit boitier qui génére un mot de passe qui change toutes les 30 secondes. Le mot de passe est un code à 6 chiffres.
Le mot de passe dynamique permet de diminuer la faille de sécurité du vol de mot de passe : le mot de passe n'existe plus en tant que tel, il n'existe que quand il est demandé.
Ce procédé va être testé sur paypal et sur ebay.

Ce procédé renforce la sécurité , il permet de contrer le vol et le fishing. Les innovations restent rares (au niveau grand public) pour la sécurité, il faut d'autant plus souligner cette initiative alors que la malveillance innove tous les jours...

02/01/2007

A l'est tout de nouveau !!

La Chine : le 2ème pays le plus connecté
Selon le Centre d'information chinois sur le réseau Internet cité par l'agence de presse Chine nouvelle, en un an, la population du Web a augmenté de 30% en Chine. Le pays compte aujourd'hui 132 millions d'utilisateurs, contre 123 millions l'an dernier.
La Chine se place au deuxième rang des pays les plus connectés après les Etats-Unis.
L'Inde un marché explosif pour les télécoms
Tous les mois, le nombre de nouveaux abonnés au téléphone mobile augmente de 6 millions ... soit 10% de la France. Imaginez la force de frappe de nos amis indiens quand ils pourront s'appuyer sur leur marché intérieur pour conquérir les marchés européens et américains.
Des opérations comme Arcelor/Mittal on va en voir beaucoup !!
Un rythme endiablé
On s'attendait à une montée en puissance sur 20 ans de la Chine et de l'inde mais c'est sans compter sur les nouvelles technologies, l'appetance de ces pays pour la technique et la mondialisation. Sauf guerre ou catastrophe, la progression sera beaucoup plus rapide que prévu et d'ici 5 ans je vois bien la Chine 1ère puissance économique mondiale ...